Adieu mon très cher et oncle paternel, El-Hadj Trabi Djelloul, Adieu
notre
Symbole et notre fierté. Nous t’aimons tous mais nous ne te pleurons pas
et, personne ne devait le faire mon oncle. Pourquoi te pleurer, toi Ô noble Trabi Djelloul ? Pourquoi te pleurer que maintenant Incha-Allah, avec la volonté de DIEU, notre Seigneur, tu te trouves au vaste Paradis ? Toi qui est né de cette noble famille composant les terminaisons généalogiques des trabi- Torabi -
terabi et encore Tourabi. Certes ce nom de noblesse et de richesse de par le monde et constituant la même et unique
famille, trouve sa fragmentation implicitement faite par le colonisateur à ce nom, sans pour autant y être responsable. L’origine de ce nom remonte à
des périodes ancestrales d’où la racine des « Etraïbia » ou « Traïbia » et, Djelloul ben
Trab (Ou Djelloul ben Aïssa) comme on aime l’appeler, est un saint de par ses origines, il est le petit fils et descendant de Sidi Abdallah ben
Trab, Saint reconnu par ses paires dans toute la région de Djendel (Ex Lavigerie) et de mère dont le grand père, relève aussi de la sainteté. (Sidi-Sala
Boukabrine) - ( Notre Maître saint aux deux tombes).
El-Hadj djelloul était dans son vivant avant la guerre d’Algérie, un homme pieux ;
Juste mais surtout un homme de bravoure, il était respecté eu égard à ses qualités d’homme et de ses origines. Il a toujours combattu pour le bien être des autres allant jusqu’à se faire priver
du minimum adéquat pour lui et ses enfants. Il s’est toujours nourri de ce que produisent ses mains à la sueur de son front. El-Hadj Djelloul ben Aissa était écouté et ses conseils servaient de
pare-chemin.
Maintenant que cet illustre personnage repose en paix dans sa tombe et dont seul Dieu a le droit de juger, Nous prions Dieu le tout puissant de l’accepter dans son vaste paradis, que ses chers enfants de qui, el
hadj djelloul a fait des hommes et des femmes, une descendance valeureuse, retrouvent la sérénité, le calme et le courage pour supporter cette tragédie divine. Nous sommes tous mortels,
l’immortalité n’appartient qu’à DIEU LUI SEUL.
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Je profite pour adresse mes vives condoléances à mes cousins Terabi, trabi
et torabi, à leurs proches ainsi qu’à tous les amis de mon oncle El-Hadj djelloul,
sans oublier tous ceux qui ont été peiné par la mort de Trabi Djelloul.
« Nous appartenons à Dieu et à LUI
nous retournons – Inna li Allah oua Inna illih radji’oune »
C’était votre cousin, ami et frère El-Hadj Mohamed Torabi Djendel Algerie. Merci.